L'humidité mesurée par le ballon !
Après avoir lancé le ballon, nous avons récupéré les données de notre capteur.
L’humidité de l’air a été mesurée lors de l’ascension de la nacelle et lors de sa descente toutes les 2 secondes. Nous avons reçu les valeurs en octets, il nous a donc fallu les convertir en tesnion (Volt). On sait que un octet code pour 256 informations ( codable de 0 à 255).
Nous savons également que 0 octet correspond à 0V, et que 255 octet correspondent à 5V.
Nous avons donc fait une relation de proportionnalité.
En effet : U= Valeur obtenue en octets/5*255.
A partir de là, nous avons utilisé la relation n°1 afin de trouver le pourcentage d’humidité sans correction de température. Nous avons effectué les calculs et tracé la courbe d’étalonnage sur Excel pour une température T=20°C.
Nous avons obtenu la courbe suivante :

Correctif :
Lors de la montée, puis de la descente du ballon, l'humidité a été mesurée.
On mesurait initialement environ 2,50V (au lieu de 5V) aux bornes du générateur de KIWI.
Malgré ce décalage, toutes les mesures ont permis de donner une valeur de l'humidité RH (sans correction de température).
Nous avons traité les données obtenues dans le but de tracer une courbe représentant le taux d'humidité RH en fonction du temps. Ainsi nous pouvons rendre compte de l'évolution du taux d'humidité selon le mouvement du ballon.
Cependant nous n'avons pas pris en compte le décalage de tension aux bornes du générateur (nous avons garder 5V).
Remarques :
Sachant que le ballon montait de 5m/s, on peut en conclure qu'à 12h05 le ballon avait une altitude légèrement supérieure à 10 km (voir capteur de pression électronique) et l'humidité relative devient quasiment nulle à cette altitude le jour du lâché.Les nuages les plus haut semblent se situer à cette altitude.
Il semblerait que la nacelle soit passée dans un nuage à la fin de sa chute.
L'humidité finale à Vitrolles était plus élevée qu'à Luynes au décollage